I. Your Character •


Nom du chat : Etoile Eternelle
Surnom(s) : Savana
Sexe : Femelle
Age : 24 lunes
[b]Clan : Vent
Rang : Meneuse
Famille/Liens :Non

Caractère :
Maintenant, venons-en à la mentalité de Savana. Qui déjà est perceptible grâce à son physique qui trahit les vrais traits de caractère de la jeune chatte.
Avant tout, sachez que vous vous apprêtez à frôler la folie en lisant ceci, car même si Savana n’est pas folle, elle s’approche néanmoins beaucoup de la folie, en fait, au lieu de « jouer avec le feu », elle joue avec la folie. C’est à la fois un avantage, et un inconvénient de taille. Il y a plusieurs Savana. Celle d’avant qui demeure toujours, enfouie au plus profond de son cœur brisé, cachée. Celle qui connaissait le bonheur, la douceur, celle qui était gentille avec tout le monde, la naïve petite chatte en quelque sorte. Et puis il y a la Savana de maintenant. On pouvait la croire cruelle, ou bien méchante, c’est faux. Elle n’est ni méchante, ni gentille, elle est tout simplement neutre. Elle ne s’occupe plus des affaires des autres. Egoïste ? Loin de là, même si elle l’est sans doute un peu, elle garde juste le goût amer de la trahison – oui elle est très rancunière, il ne faut pas l’énerver, la vexer, car elle s’enflamme très vite quelques rares fois… La plupart du temps, Savana garde ses distances avec les autres chats, et les évite. Elle préfère la solitude à la compagnie des autres, elle n’aime pas beaucoup parler non plus cependant, la demoiselle maîtrise parfaitement bien la langue, c’est une arme pour elle qu’elle sait magner avec beaucoup de dextérité et d’intelligence, ce qui la rend encore plus dangereuse. Savana montre rarement ses sentiments aux autres, elle sait que c’est une faiblesse et elle n’a pas envie qu’on se joue d’elle. Elle n’aime pas qu’on se moque d’elle et tue de sang-froid, sans la moindre hésitation, quiconque ose l’insulter. Cependant, elle ne tue pas par le plaisir, en fait, tuer n’est qu’une ignominie mais elle ne veut pas non plus qu’on lui marche sur les pattes. Elle tient à sa liberté plus que tous, et à sa tranquillité aussi. Surtout parce que cela la perturbe et elle n’aime pas les surprises. Cependant, au fond, ce n’est pas quelqu’un de mauvais. Le monde a fait d’elle un être rejeté, parce que les autres n’acceptent pas quelqu’un de différent, de mieux qu’eux. Alors, elle ne fait que s’adapter et se rabaisser. Savana est blessée, et cherche à tout prix à se venger. De qui ? Elle l’ignore, mais elle cherche. Elle ne baisse jamais les « pattes », si elle a un but, elle l’atteindra, elle n’abandonnera jamais. Et la personne qui se met sur son chemin. Eh bien. Il finira sûrement tué, blessé ou elle le laissera tranquille en le couvrant de menace. Elle ne renonce jamais. En fait, il vaut mieux l’avoir pour « amie » que pour ennemie. Cela vaut mieux. Pour vous.

Histoire : Je suis née, moi, Savana, petite chose indigne, lorsque les bourgeons commençaient à se transformer en magnifiques fleurs. Mon nom, contrastant avec la vie exprimée à chaque instant.
Mais je ne plaignais pas de cette vie, pas plus du fait de n’avoir pas de frère et de sœur. Enfin si, j’en avais, mais Ouréa seul le savait. C’est là que vous vous dites, comment une simple solitaire prie t-elle le dieu des Montagnes? C’est simple, ce Clan qui m’est inconnu, est le mien, étrange non? De plus, je m’identifiait, petite, aux Montagnes, immenses, majestueuses, protectrices et dévastatrice.
J’avais, pour seule compagne, ma mère, une chatte qui m’aimait de façon rude, ce qui, en fait, était sa façon de prouver ses sentiments. Son nom? A quoi cela me sert-il de le dire? Je veux juste l’oublier, l’effacer de ma mémoire, même si son image me hante chaque jour, chaque nuit…
Ma mère, fut, une guerrière du Clan du Vent, elle me parlait sans arrêt de ses terres d’origines, et me racontait des histoires, si bien, qu’avant même avoir vu ces terres, j’en connaissais déjà le moindre recoin. Pour ma mère, j’étais à la fois la plus belle chose et la plus mauvaise qui lui était arrivé, la mauvaise, parce qu’à cause de moi elle avait dû quitter son cher Clan, et la bonne, c’était qu’elle était heureuse de m’avoir, et de pouvoir m’élever. Nous étions heureuse, oui, mais moi, je n’étais pas pleinement satisfaite, je voulais voir ces terres sur lesquelles ma mère avait vécu, et avait sans doute rencontré mon père, je n’étais pas la seule, et je le savais, à ne pas connaître mon père, mais moi, je savais, qu’à sa moindre évocation, ma mère souffrait, son regard s’assombrissait, s’attristait, ses épaules s’affaissaient, sa bonne humeur disparaissait. Et lorsqu’elle me parlait de lui, c’est qu’elle était malheureuse. Puis au fur et à mesure que le temps passait, je me rendis compte que ma mère me parlait de plus en plus de lui. J’étais, à cette époque, assez âgée pour être apprentie, et donc pour comprendre ce que ressentait ma mère, de plus, j’étais douée pour cerner les pensées des gens, et les gens. Je m’inquiétais donc, et mes nuits ne furent que remplies de cauchemar, mes journées d’inquiétude, d’incertitude. Puis soudain, du jour au lendemain, alors que je m’attendais à ce que ma mère vit ses derniers instants, elle alla mieux. Si bien qu’elle décida brusquement que j’étais en âge de me débrouiller seule, et tout aussi soudainement elle m’abandonna à mon sort. Je ne lui en voulu que très peu, pour être honnête, car une fois qu’elle était partie, pour aller je ne sais où, je me rendis compte que j’étais libre, libre d’explorer ce monde dangereux, inconnus. Libre de faire ce que je voulais. Et ainsi, je partis à la recherche de ce dont j’avais toujours rêvé. Les terres des Clans. J’étais petite pour mon âge, ce qui me permis de me cacher, plus d’une fois lorsqu’un prédateur essaya de me tuer. Je me rendis compte que j’étais faible, et que je ne ferai pas long feu. Le prédateur, normalement, ç’aurait du être moi. Je m’entraînai, seule, et mal il faut l’avouer, mais ma mère m’avait dit que je possédai une volonté de fer, et plus d’une fois, même si j’étais épuisée je grimpai en haut des arbres, je nageai - chose que je faisais très rarement étant donné que je failli me noyer une fois, je dois mon salut à une grosse branche- J’avais à peu près neuf lunes lorsque j’arrivais dans le Clan du Vent, l’hiver semblait alors s’éternisait, et ce fut frigorifiée, affamée, mais avec cette terrible envie de vivre qui me caractérisait que je me laissais sombrer, ayant enfin trouvé ce que j’avais toujours cherché.
Aux membres du Clan, je racontai tous, et je su qui était ma mère, avant qu’elle s’enfuie bien sûr. Beaucoup de guerriers me dirent que je lui ressemblai et c’est à ce moment-là que je me rendis compte, que si je pouvais m’adapter, j’étais différente, j’avais un mode de vie différent, des envies différentes. Mais même si je me rebellai, je n’en montrai rien. On me donna un mentor, et un nouveau nom. Avant, j’étais Savana, mais désormais, je savais qui je voulais être, je voulais être Nuage Eternel, même si j’étais encore Savana… Cette période-là de ma vie, quoique fatigante, fut épanouissante. J’aimais beaucoup mon mentor, lui, me souriait doucement quand je lui disais qu’il était le père que je n’avais jamais eu. A treize lunes, je devins guerrière. Mon nom? Esprit Eternel. Un joli nom, qui me ressemblait un peu. Les lunes passèrent. Le meneur du Vent mourut, son lieutenant? Griffe d’Encre, mon ancien mentor. Je fus bien entendu heureuse pour lui, et à ma plus grande surprise, ainsi que celui du Clan, il ne nomma pas de lieutenant, pas aussitôt. Les lunes passèrent, et lorsque les bourgeons commencèrent à pousser, à devenir des fleurs, une tragédie se produisit. C’était une belle journée, ensoleillée, à l’aube, était apparu des nuages blancs, pur, qui aurait pu se douter que ceux du soir seraient rouges, teintés de sang? J’étais avec mon chef, mon ancien mentor, et deux autres guerriers lorsque cela se passa, dans la forêt des arbres « feuillus » lors d’une partie de chasse. Dans une maladresse, je bondis dans un terrier, en ne voyant pas le blaireau qui s’y terrait. Il m’attaqua, et mes cris, alertèrent mes compagnons, qui m’aidèrent, puis nous allâmes nous réfugier en haut d’un arbre. Tout allait bien, en apparence du moins, j’avais une profonde griffure sur l’une de mes épaules, je saignais beaucoup, et je me vidais de mon sang sans que personne ne puisse faire quelques choses. Nous patientâmes, et enfin, le blaireau, renonçant à nous, s’en alla. Nous rentrâmes au camp, rapidement, c’est alors que je remarquai que quelque chose n’allait pas. Etoile d’Encre faisait partie de ma vie, je connaissais la moindre de ses expressions, et il n’allait pas bien, il se tenait trop droit, ses muscles étaient crispés. En pénétrant dans le camp, il s’effondra. Les chats l’entourèrent, c’est d’une voix sourde qu’il fit en me regardant « Esprit Éternel, mon apprentie, ma guerrière… Je suis sûre, que malgré ton âge,et malgré tes erreurs, tu feras une bonne meneuse… » puis il sombra. Il dormit très longtemps, des jours et des jours, il s’éveilla un bref instant, demanda des nouvelles de tous les chats, et se ré-endormit, cette fois, pour l’éternité. C’est ainsi que moi, Savana, la pauvre petite chatte errante, qui rêvait des Terres du Vent comme de la Terre Promise, devint meneuse.

Physique : On vous a déjà dit à quoi ressemblait la perfection ? Non. On vous a déjà ce qu’étais la perfection, mais la vision de cette perfection varie selon les individus. En fait, la perfection n’existe pas car ce serait trop parfait pour être vrai. Hors, Savana est la perfection. Elle représente tout ce que les autres ne sont pas, et à vrai dire, très peu de chats lui ressemblent. Car Savana est unique d’une manière ou d’une autre. Mais cela, elle s’en contrefiche, après tout, l’apparence ne compte pas pour elle, car elle peut se montrer aux autres le pelage couvert de boue, cela ne la gênerait pas le moins du monde, et cela ne ferait que la rendre plus sublime encore. Savana incarne plusieurs choses, la nature sauvage, protectrice, magnifique, mystérieuse. Ses yeux d’ailleurs sont d’un vert profond, mystérieux, ils reflettent tant d’émotion qu’on ne sait pas vraiment ce qu’elle pense. Elle semble fragile et si forte. Une aura de mystère, de fascination « flotte » autour d’elle, elle attire parce qu’elle est totalement inaccessible. Son pelage est, quand à lui, comme le feu, comme le caramel si vous préférez, d’un doux roux, comme une orange?, mais zébré de rayure plus foncé et plus clair notamment autour de son visage. Parlons-en de son « visage », les traits de Savana sont extrêmement harmonieux, fins, pourtant, elle n’est pas de celle qu’on qualifie de belle, ce sont ses yeux qui donnent à son visage un éclat merveilleux. Sinon, son expression reste dure, secrète, renfermée. Elle ne sourit pas, ou très peu. Lorsqu’elle parle, sa voix ajoute à l’impression d’un rêve, elle est merveilleuse, à la fois douce et forte, profonde et faible, grave et aigu. Parfaite. Simplement, elle n’est pas totalement parfaite, elle possède comme les autres beaucoup de défauts que son charisme naturel masque extrêmement habilement aux yeux des autres. Elle semble ressentir toutes les émotions du monde à la fois, la peur, la joie, la souffrance, la haine. Cela lui donne une apparence d’invincibilité. Mais néanmoins, elle peut avoir l’apparence d’une petite chatonne. Ce qu’elle n’est pas. Le secret ? Il suffit juste de plonger son regard dans ses yeux si mystérieux car c’est à cause de ceux-ci qu’elle paraît ce qu’elle n’est pas totalement…

Goûts : Ce que votre chat aime ou n'aime pas. Minimum 2 lignes complètes.

En quelques mots...
Qualités : Juste, compréhensive, rapide, intelligente, rusée.
Défauts : discrète, parfois violente, lunatique, mystérieuse, quelque fois dure.



II. On the other side •


Pseudo / PUF : Gritsou
Avez-vous lu le règlement ? Bien sûûûr.
Code(s) : [Cinderella aux commandes, code correct dit-elle !]
Votre avis sur le forum ? Trop beau *o*
Des remarques pour l'améliorer ? mhh pas pour l'instant.
Ou avez-vous découvert le forum ? WOC.
Serez-vous actif ? J'ai plutôt intérêt non?
Autre chose à signaler ? L'histoire ainsi que la sign, arrivent.