I. Your Character •


Nom du chat : Illusion Mortelle.
Surnom(s) : Illu’ . Death. Puck.
Sexe : ♀
Age : Quinze lunes.
Clan : de l’Ombre.
Rang : Guérisseuse.
Famille/Liens :Divine Innocence – Sœur – Lieutenant du Clan de l’Ombre.


Caractère :


On peut dire que le caractère d’Illusion Mortelle est plus trempé que sa sœur, mais elle n’est pas non plus la grosse méchante qui va tous vous tuer juste pour rire. En effet, même si elle est plus apocalyptique que sa jeune sœur, Divine Innocence, elle n’est tout de même pas une meurtrière en série qui est en rogne contre tout être vivant.
Illusion Mortelle est douce, agréable et charmante avec ses patients. Et n’importe lesquels. Pourtant, lorsqu’on est proche d’elle, on sait combien elle peut être turbulente. Est-ce tout ce qu’elle n’a pas pu évacuer lorsqu’elle était gamine ? En tout cas, avec ses proches elle est comme une enfant, curieuse, et s’émerveillant de tout ce que l’on peut lui apprendre. Pourtant, elle est dotée de la sagesse qu’un adulte peut avoir, ainsi que de ses réflexes et tout le toutim.
Mais pour ce qui est des gens qu’elle ne connaît pas, elle est complètement sur la défensive, et peut être agressive sans même s’en apercevoir. Elle n’aime pas vraiment la compagnie des autres félins, à part dans sa tanière, et de ceux qu’elle aime. Elle est plutôt du genre taciturne avec les connaissances, mais deviendra de plus en plus enjouée au fur et à mesure.
Lorsqu’elle hait, c’est pour la vie, et la sentence est souvent irrévocable. Surtout qu’elle a tendance à s’énerver pour un rien, ce qui peut agacer particulièrement la plupart des gens. Elle est très impatiente, et n’aime pas expliquer et faire partager ce qu’elle connaît avec les autres. Comment fera-t-elle avec un apprenti ?
Elle est attachante pour ses réactions un peu chatonne, et on la prend rapidement en affection. Elle est douée et talentueuse dans ce qu’elle fait, mais n’aime pas s’en venter. Elle déteste les compliments, et est capable de s’énerver rien que pour ça – oui, elle s’énerve souvent, en fait.
Elle parle souvent toute seule, préférant sa propre compagnie à celle des autres. Elle adore réfléchir et penser, bien qu’elle soit très courageuse. Elle adore prendre des risques et aime se sentir aimer. Pourtant, elle déteste les marques d’affection vraiment trop poussées, la mettant mal à l’aise.
Une caractéristique qu’elle déteste est le fait que l’on ne comprenne pas forcément rapidement ses émotions, et qu’il faille souvent beaucoup de temps pour commencer à la connaître sous le bout des doigts. Elle aimerait bien extérioriser tous ses sentiments, mais n’étant ni douée avec les mots, ni avec les gestes, c’est légèrement délicat.
De plus, elle manie le mensonge parfaitement, et c’est parfois un atout très enrichissant. Elle déteste tromper les gens, bien que parfois cela l’amuse.
Elle aime bien utiliser les sarcasmes, bien qu’elle n’ais pas d’humour. Elle adore être espiègle et taquiner les gens, au risque de les fâcher. Elle essaye juste de tâter les limites, quoi.
Je ne vois pas grand chose de plus à dire, mais vous verrez bien la suite de son caractère dans les Rps.
- ce n’est pas très complet ni bien écrit, mais j’ai vraiment trop la flemme de continuer -



Histoire :



I. Happy Bir… ta gueule.


Ce fut comme un souffle d’air frais. Bien que je ne m’en souvienne pas aujourd’hui, j’en garde un souvenir heureux. L’herbe s’engouffrer dans mes poumons, sentir ce nouveau monde autour de moi. C’était… ma naissance. Il y avait mes parents bien entendu, ou des boules de poils qui y ressemblaient. Il y avait aussi d’autres bestioles, qui devaient être de ma famille, car ils sentaient la même odeur que moi : je ne suis pas sûre qu’à ce moment précis, j’exprimai ces pensées aussi clairement que maintenant, mais je savais qu’une puissante montée de bonheur grimpait en moi. Surtout lorsque le liquide chaud, communément appelé lait coula dans ma gorge, et que je pu enfin dormir au chaud.
Les jours qui suivirent ce moment furent plongés dans l’obscurité la plus totale. Je sentais des choses, et entendais. Toutefois je ne pouvais rien voir. Je restais contre quelque chose de ballonné, douce, chaude, et qui me donnait à manger.
Le dernier sens qui me manquait ne tarda pas à faire son apparition dans ma vie. La vue me rendit folle de joie. Je pouvais voir tout ce que j’avais associé à des odeurs et des reliefs. C’était intéressant de voir tout ce qui m’entourait, et que je n’avais jamais imaginé. Même si je passais la plupart du temps à dormir, j’adorais faire des escapades – qui ne duraient pas plus de trois pas ; j’étais aussitôt ramenée vers la chaleur maternelle.
Lorsque je me sentis assez forte pour enfin me lever plus d’une dizaine de petites foulées incertaines, je commençai à examiner plus précisément où je vivais. Je découvris aussi que ma mère – Aile Douce – me donnait un prénom, comme à mes frères et sœurs. J’étais Patte Illusoire. Et la boule de poils beige avec qui je passais le plus clair de mon temps était Patte Divine, ma sœur. Je me sentais bien près d’elle, et je n’avais pas envie de la quitter. Un sentiment grandissait en moi. A chaque fois que je la voyais échapper à la garde d’Aile Douce, je la suivais docilement. Je voulais à tout prix la protéger, que personne ne lui fasse de mal. C’était étonnant, car au début, je ne pensais pas que cette émotion était anormale. Pourtant, plus je grandissais, et plus je remarquai que l’œil attentif que je portais à la jeune chatte n’était pas un comportement de sœur.
Lorsque la nuit, je rêvais, je partageais les rêves de Patte Divine. Je sentais ce qu’elle ressentait. Très peu, et c’était souvent au moment où je m’y attendais le moins. Mais le jour où je compris qu’un lien étrange se consolidait entre nous, je préférai taire cette nouveauté. Ce n’était pas normal de connaître sa sœur aussi bien que j’avais le bonheur de le connaître, et vice versa. Même si c’était beaucoup moins que lire dans ses pensées, je pouvais parfois deviner ce dont elle avait envie. Parfois, c’était elle qui me surprenait en dépassant mes propres désirs. C’était étonnant, mais je crois que ce fut ce qui me retint en vie lorsque Aile Douce rendit l’âme. Je m’étais énormément attachée à cette protectrice, celle qui m’enseignait tout ce que je devais connaître. Je préférais écouter ses récits sur les Assemblées plutôt que jouer avec les autres chatons à combattre. Je préférais m’imprégner de sa sagesse, même si je ne comprenais pas la moitié de ce qu’elle me disait. Lorsqu’un jour, on ramena sa dépouille au campement, un éclair brisa mon cœur. Une douleur fulgurante me traversa, et je sentis le sol s’effondrer sous mes pattes. Mère ne pouvait pas être morte. Je n’avais que cinq lunes. Elle avait encore tellement à m’apprendre…
Patte Divine supporta mon chagrin, et refoula le sien. Elle m’aida à traverser cette épreuve comme une moitié et non comme une sœur. Elle supporta mon moi brisé, en attendant que mon moi heureux renaisse.
Tel un phénix, je finis par renaître de mes cendres, après de longs jours passés couchée sur une paillasse chez le Guérisseur.


II. Ma Voie… lactée ?


J’étais dans une plaine baignée dans la pâle lumière de la lune. Il n’y avait pas de nuage, mais le ciel n’avait aucune étoile. Dans la clairière, il y avait un bassin d’eau à quelques pas de là. Je voyais le reflet des étoiles, alors qu’il n’y en avait pas. Je m’approchai, curieuse de me pencher au dessus de l’eau. Mais je n’arrivais pas à bouger mes pattes. J’étais juste plantée là, dans cet espace de verdure. L’herbe avait une couleur aigue-marine, bleu pâle. L’odeur des fleurs emplit mes narines, coulant dans mon corps comme le sang. Et puis, une silhouette immaculée s’approcha lentement de moi. Je n’eus même pas besoin de plus pour La reconnaître. Aile Douce approchait. Sa longue fourrure blanche était encore plus brillante que dans mes souvenirs. Une traîne d’étoiles scintillaient à chacun de ses pas, avant de s’éteindre dans la nuit. Son corps était flou, drapé d’une étoffe de soie étincelante. Ses yeux bleus étaient comme des fenêtres ouvertes sur le monde. Ils miroitaient doucement dans la lumière de la nuit, exprimant son bonheur de me revoir.
- Mère ! susurrai-je, incapable de dire ou penser plus.
- Ma fille.
Son regard doux vira en quelques millisecondes. Ses pupilles devinrent noires de colère. Mes oreilles s’aplatirent sur mon crâne.
- Je suis déçue, Patte Illusoire. Je pensais que tu serais plus forte.
- Désolée, mère.
Elle s’approcha cependant, et me passa un léger coup de langue sur le crâne. Je ne le sentis même pas, mais mon cœur bondit dans ma poitrine à ce faux-contact.
- Ne t’inquiète pas, ma fille. Tu as toute la vie devant toi pour accepter la mort, ma chérie. Il va cependant falloir que je te quitte.
- Non, mère, je vous en supplie, rester encore avec moi ! Ne me laissez pas !
Elle tourna un regard compatissant vers moi, et je fourrai ma tête dans le pelage de son épaule.
- Saches que je ne te laisserai jamais. Je serai toujours dans tes souvenirs, dans ton cœur. Ne l’oublie jamais. Patte Divine à besoin de toi, désormais. Veille sur elle. Ne me déçois pas à nouveau.
Elle me contempla avec cet air désapprobateur dont elle avait le secret. Ses traits s’affaissèrent, et elle commença à reculer, doucement, vers l’ombre de la clairière. Mon esprit hurlait son nom, mais mon corps ne suivait pas le mouvement. Je la perdais une seconde fois. Je ne voulais pas me réveiller, c’était trop dur. Qui veillerait sur moi, sans elle ? Longtemps après sa disparition, je restais là, plongée dans la tristesse de mon cœur. Et puis, après quelques minutes qui me parurent des heures, je soufflai un bon coup. Patte Divine veillerait sur moi, et je veillerais sur elle comme je l’avais toujours fait.


III. Marche ou Crève.


Le lendemain matin, à mon réveil, je possédais à nouveau tous mes réflexes. Ma mystérieuse maladie s’était évaporée avec mon songe. Je me levai, et constatai que j’avais mal à mon œil gauche. Je n’y fis même plus attention quelques secondes après. J’entrai dans l’arrière grotte de Balafre de Requin, le guérisseur. Le jour était levé, et il s’affairait dans ses plantes.
- Oui ?
Il sembla inquiet. Il me sourit amicalement. Même si son nom indiquait le contraire, c’était la plus gentille personne que j’eus connu, en dehors des Reines. Il était amical avec tout le monde, et disposait d’un self-control sans bornes, et jusqu’alors inégalé.
- Je veux devenir Guérisseuse.

×××

Voilà dix lunes désormais, qui me séparaient de ce souvenir heureux. J’étais devenue Nuage d’Illusions, l’apprentie guérisseuse du Clan, tandis que Patte Divine devenait Nuage Divin. Nous suivîmes le même entraînement durant une lune entière, où j’appris l’art de la chasse et du combat, à vitesse grand V. Je pouvais désormais aborder mon entraînement médical. Huit lunes d’éclate, entre les fous rire avec ma sœur, et les longs entraînement dans la tanière aux délicieuses odeurs. Cette partie de ma vie passa si rapidement que je me demande encore si c’était bien ma vie. Le lien se durcissait entre ma sœur et moi, et notre complicité augmentait elle aussi. Balafre de Requin, assez vieux désormais décida de se retirer, et d’entrer dans la Tanière des Anciens. Il devint aveugle peu de temps après. Même si je pouvais toujours lui demander conseil, ce n’était plus comme de voir sa silhouette, toujours à portée de patte dans le fond de la tanière. Je devins guérisseuse sous le nom d’Illusion Mortelle, tandis que ma sœur devenait guerrière et par la même occasion Lieutenant sous le nom de Divine Innocence.



Physique :


Une silhouette blanche est allongée dans une clairière. Elle est étendue sur le sol. Son poil immaculé est en bataille. Il avait été soigné et lavé soigneusement, quelques temps auparavant, mais il était devenu aussi indomptable qu’un fauve. Elle est maigre, on voit ses côtes saillirent, mais son long pelage blanc cache ses os. Sa silhouette est grande, de taille moyenne, dirons-nous. Son ossature est fine, et ses muscles sont noueux, tendus par l’effort. On peut facilement imaginer une belle femelle, levée. Sa queue ressemble à la traîne d’une mariée, même si celle-ci est en bataille. Elle semble douce et agréable au toucher. Même si sa fourrure est broussailleuse, elle est chaude et délicate. Son petit visage triangulaire rappelle une tête de serpent, prête à frapper à chaque instant. Pourtant, elle ressemble plus à un Ange qu’à un démon. Sa fourrure laiteuse recouvre même ses oreilles, formant de beaux pinceaux blafards dans l’intérieur de ses oreilles triangulaires et de couleur de la chair humaine. Rose. Sa truffe rose est au moins raccord avec ses oreilles.
Ses yeux bleus ressemble à deux saphir bleus. C’est le seul endroit de couleur mise à part sa truffe et ses oreilles, sur elle. Mais là, ils sont clos. Ses oreilles sont rabattues sur son crâne. Ses longues moustaches blanches pendent mollement contre son museau.
Une gerbe d’hémoglobine scintillante, de la couleur du rubis, traîne sur sa robe étincelante. Du sang se repend un peu partout, rendant son pelage poisseux. Elle tremble.

Illusion Mortelle se réveilla en un sursaut, apeurée par ce rêve.



Goûts :


Que peux-t-on dire sur les goûtes de la demoiselle ? Elle aime peu de choses, c’est certain. Alors commençons par ça. Elle aime par dessus tout sa sœur, qu’elle chérit encore plus que ça propre vie. Et son Clan, bien entendu. Elle aime guérir, et sauver les félins. Non pas qu’elle n’aime pas la mort. Elle la trouve mystérieuse et inquiétante. Mais elle préfère éviter la souffrance. Elle déteste voir des gens souffrir, ce serait presque comme lui enfoncer un pieux dans le cœur.
La suite de la liste me semble un peu plus matérielle. Elle aime la pluie, elle la trouve pure, et elle rêverait d’apprendre à nager comme le font les guerriers du Clan de la Rivière. Mais c’est malheureusement impossible pour le moment, et elle se contente de patauger. Elle n’aime donc pas la chaleur, préférant de loin le froid de l’hiver, même si elle déteste les maladies qu’il apporte avec lui.
Elle aime le poisson, même si elle n’en a goûté qu’une seule fois dans sa vie. En fait, je crois qu’elle aurait aimé naître dans le Clan de la Rivière xD .
Elle adore manger des oiseaux aussi, et n’aime pas trop les rongeurs, bien qu’elle accepte tout de même de les manger. Elle aime bien le combat, mais est plutôt du genre à parlementer d’abord.
Je ne sais pas trop quoi dire de plus sur ses goûts, en fait x) Il y a pourtant une chose qu’elle déteste par dessus tout : manger des plantes, et être avec des gamins – sauf pour les soigner.


Qualités : Attachante – Boute-en-train – Captivante – Correcte – Crédible – Croquante – Délectable – Douce – Douée – Eblouissante … - Efficace – Emballante – Endiablée – Enragée – Enthousiasmante – Epatante – Epoustouflante – Exaltante – Exceptionnelle =D – Excusable – Festive – Flamboyante – Honnête – Impressionnante – Imposante – Intelligente - Irrésistible – Mignonne – Mirobolante – Mortelle – Originale – Percutante – Persévérante – Phénoménale – Plaisante – Remarquable – Renversante – Révolutionnaire – Séduisante – Spirituelle – Supportable – Talentueuse – Tolérable – Valeureuse – Vénérable – Vivable.
Défauts : Caractérielle – Cataclysmiques – Sarcastique – Dépendante - Disjonctée – De marbre - Ebouriffée – Ennuyante – Hardie – Impulsive - Infernale – Insupportable – Intenable – Négligeable – Placide – Revendicatrice – Taciturne - Trépidante – Troublante – Vulgaire.


II. On the other side •


Pseudo / PUF : Puck.
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Code(s) : [Cinderella aux commandes, code correct dit-elle ! :DD]
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Autre chose à signaler ? <3 – pouvez-vous laisser la présentation ouverte jusqu’à demain je ne suis pas très sûre du caractère x) .